• Deux lesbiennes s’embrassent en public

    Par africaineblanche le 21 Septembre 2013 à 15:30

     

    Deux lesbiennes s’embrassent en public

     

    Abidjan / Deux lesbiennes s’embrassent en public : les passants leurs donnent une sévère correction

     

    Elles se trouvaient à Koumassi. Dans le quartier où ces deux jeunes filles dont nous ne dévoilerons pas le nom habitent, les gens les suspectaient de filer en douce une relation amoureuse. Mais sans preuve, l’information demeurait une rumeur. Bizarrement, le lundi 9 septembre dernier, elles ont décidé de livrer à tous ceux qui les suspectaient, la preuve qu’elles sont des lesbiennes. Après une petite causette, l’une (certainement l’homme) s’approche de l’autre et lui donne un baiser. Comme personne ne réagit, elle pousse plus loin le bisou et donne un « béco » langoureux à sa partenaire. Les minutes qui suivent, les deux jeunes filles dont l’âge varie de 16 à 20 ans sont copieusement tabassées par des passants. Pauvres d’elles ! Elles avaient certainement oublié que le « mariage pour tous » est resté aux frontières de la France et autres pays occidentaux.

     

     


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  • Carrefour à ABIDJAN

    Par africaineblanche le 14 Septembre 2013 à 15:13

     

     

    Carrefour se lance sur le marché africain

     

    Carrefour à ABIDJAN

     

    EntreprisesPour se développer dans 8 pays d'Afrique de l'ouest et centrale, le groupe français a annoncé mercredi une alliance avec CFAO. "Un premier projet démarrera en 2013 à Abidjan, en Côte d'Ivoire, avec pour objectif une ouverture opérationnelle en 2015".

    Les groupes de distribution français Carrefour et CFAO ont annoncé mercredi une alliance pour se développer en Afrique, avec la création d'une coentreprise chargée de mettre en place "différents formats de magasins dans huit pays d'Afrique de l'ouest et centrale". Carrefour, n°2 mondial de la distribution, et CFAO, spécialisé dans la distribution en Afrique et dans les DOM-TOM, ont signé "un protocole d'accord pour constituer une société commune" qu'ils détiendront respectivement à 45% et 55%, selon un communiqué commun des deux groupes.

    Les pays ciblés sont le Cameroun, le Congo, la Côte d'Ivoire, le Gabon, le Ghana, le Nigeria, la République démocratique du Congo et le Sénégal. La coentreprise "bénéficiera d'un droit exclusif de distribution" pour implanter des magasins dans ces pays. CFAO "apportera une connaissance approfondie de ces marchés et une bonne compréhension des habitudes de consommation" locales.

    Une ouverture en Côte d'Ivoire prévue en 2015

    Dans un communiqué séparé, CFAO précise que son accord avec Carrefour constitue pour lui "la pierre angulaire" d'une stratégie plus vaste de développement d'"un réseau de galeries marchandes adaptées aux besoins des consommateurs africains et organisées autour d'un pôle d'attraction dans la distribution alimentaire". Le groupe, spécialisé dans la distribution automobile et pharmaceutique, indique préparer depuis deux ans cette stratégie "ambitieuse" qui inclut "des galeries marchandes, des hypermarchés et des supermarchés". CFAO ambitionne de développer "plusieurs dizaines de centres commerciaux" en dix ans et de s'imposer comme "un acteur de référence dans le distribution de détail" en Afrique de l'ouest et centrale, "avec un chiffre d'affaires dépassant un milliard d'euros".

    "Un premier projet démarrera en 2013 à Abidjan, en Côte d'Ivoire, avec pour objectif une ouverture opérationnelle en 2015", précise le groupe. L'alliance avec Carrefour est la première, mais CFAO entend nouer d'autres partenariats avec de "grandes marques internationales qui souhaitent accéder aux marchés africains dans le cadre de leur développement sur les marchés émergents et pré-émergents". CFAO souligne être soutenu activement dans sa démarche par son nouvel actionnaire de référence TTC -- une maison de commerce japonaise appartenant à la nébuleuse Toyota et qui détient la quasi totalité de CFAO, après une OPA.

    Carrefour à ABIDJAN

     


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  • 2 500 grossesses précoces dans le milieu scolaire

    Par africaineblanche le 3 Septembre 2013 à 18:24

     

    Côte d’Ivoire 

    Plus de 2 500 grossesses précoces dans le milieu scolaire

     

    2 500 grossesses précoces dans le milieu scolaire

     

    Les autorités éducatives ivoiriennes ont tiré mardi la sonnette d’alarme sur le nombre  » élevé « de grossesses précoces en milieu scolaire.

    « Plus de 2 500 cas de grossesses ont été enregistrés durant l’année scolaire écoulée dans les écoles secondaires du pays », a révélé le directeur de la pédagogie et de la formation continue du ministère ivoirien de l’Education nationale Patrice Silué.

    Pour M. Silué, il y a lieu d’agir en concertation avec les parents pour freiner le fléau.

    « Les grossesses en milieu scolaire sont à la base de nombreux échecs et abandons scolaires », a-t-il expliqué, plaidant pour une implication massive des acteurs de l’éducation.

    Les grossesses en milieu scolaire constituent un phénomène qui a pignon sur rue en Côte d’Ivoire.

    Selon certains responsables d’établissements scolaires, cette situation est liée en grande partie à la pauvreté.

    Lors d’une tournée dans la région ouest du pays, la Première dame Dominique Ouattara avait déclaré que l’important taux des grossesses précoces dans les écoles était une menace pour l’avenir de la femme.

    « Tous, à nos niveaux respectifs, élèves, parents d’élèves, enseignants devons nous impliquer activement et dénoncer les abus sexuels en milieu scolaire », avait préconisé Mme Ouattara.

     

     


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  • Miss Côte d'Ivoire Aissaïta Dia

    Par africaineblanche le 3 Septembre 2013 à 17:35

     

    Présentation de la Miss Côte d'Ivoire Aissaïta Dia - Miss World 2013

     

     

    Miss Côte d'Ivoire Aissaïta Dia

     

     

     

     

     


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  • la médecine traditionnelle

    Par africaineblanche le 31 Août 2013 à 15:05

     

    Côte d’Ivoire : la médecine traditionnelle prisée par 80% de la population

     

    la médecine traditionnelle

     

    La médecine traditionnelle connaît un franc succès en Côte d’Ivoire. Et pour cause, 80% de la population ont recours à la médecine traditionnelle. Le pays projette même une collaboration avec la médecine moderne.
     

    La médecine traditionnelle a pris le dessous sur la médecine moderne en Côte d’Ivoire. Plus de 80% de la population préfèrent se soigner à base de plantes plutôt que de prendre des médicaments. Un taux qui pousse à renforcer les capacités des acteurs de la médecine traditionnelle.

    Progrès importants de la médecine traditionnelle

    La médecine traditionnelle gagne du terrain en Côte d’Ivoire. C’est l’avis du directeur-coordinateur du Programme national de promotion de la médecine traditionnelle, Kroa Ehoulé. Ce dernier estime que « la médecine traditionnelle qui fait son chemin depuis de nombreuses années en Côte d’Ivoire aux côtés de la médecine moderne, a enregistré des progrès importants ». Il existe au sein du pays 2 000 acteurs de médecine traditionnelle ainsi que 200 cabinets de médecine traditionnelle. Il souhaite valoriser cette médecine. Le président de la Fédération des tradi-praticiens et naturo-thérapeutes de Côte d’Ivoire, Daniel Ano Kouao, souhaite crédibiliser la profession. Pour lui, « une personne qui se réclame tradi-praticien doit être identifiée au niveau de la Fédération et se doit de participer aux activités de la structure ». Il annonce par ailleurs des mesures vigoureuses devant permettre un assainissement et une professionnalisation du secteur en proie à une relative anarchie.

    Vers une collaboration optimale avec la médecine moderne

    A plusieurs occasions, des experts ont plaidé pour une collaboration optimale entre les deux types de médecine, pour une prise en charge des populations en matière de santé. C’est ainsi que la Côte d’Ivoire souhaite s’inspirer de l’expérience chinoise en matière de santé. La ministre ivoirienne de la Santé, Raymonde Goudou-Coffie, estime que l’exemple de la Chine en matière de collaboration entre la médecine traditionnelle et la médecine moderne est « une voie à explorer » en Afrique et particulièrement en Côte d’Ivoire. Les faiblesses de la médecine traditionnelle et les réticences des agents de santé moderne constituent des obstacles à une collaboration effective. Ce qui préoccupe les autorités sanitaires ivoiriennes, souhaitant une dynamisation du système général de santé.

    par Kardiatou Traoré

     

     


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