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    La Côte d'Ivoire honore la mémoire du journaliste assassiné Jean Hélène

     

    Les autorités ivoiriennes ont remis à titre posthume l'Ordre nationale de la République à Jean Hélène, correspondant de RFI en Côte d'Ivoire assassiné le 21 octobre 2003. L'occasion de revenir sur le travail de notre confrère

     

     

    Dix ans après l’assassinat du journaliste "Jean Hélène l’Africain" à Abidjan, le gouvernement ivoirien a honoré la mémoire de notre confrère de Radio France Internationale (RFI) en lui remettant à titre posthume l’Ordre nationale de la République. La ministre de la Communication de Côte d’Ivoire a remis la prestigieuse décoration à Thierry Baldensperger, le frère de Jean Hélène, né sous le nom de Christian Baldensperger, lors d’une cérémonie à Abidjan.

    "Jean Hélène est presque une victime symbole pour celles tombées dans ce pays", a déclaré Marie-Christine Saragosse, PDG de France Médias Monde, qui regroupe notamment RFI et FRANCE 24. Présente pour l'occasion à Abidjan, Marie-Christine Saragosse s'est dite "frappée de constater" l'impact que Jean Hélène et sa mort ont pu avoir "dans toute l'Afrique". "Les auditeurs ont vécu son décès de manière personnelle, familiale. Ils l'appelaient 'Jean Hélène l'Africain'. C'est tout le continent qui était solidaire" a souligné la présidente de France Médias Monde.

    "Mon frère avait fait du vaste continent africain sa propre patrie, a rappelé Thierry Baldensperger. S'il était là aujourd'hui, il partagerait cette distinction avec toutes celles et ceux qui ont eu la douleur de perdre un proche, un parent, un ami, de quelque bord que ce soit."

    Amoureux de l’Afrique

    Passionné par l’Afrique, Jean Hélène avait sillonné le continent de Nairobi en 1988 à Abidjan en 2003. Correspondent de RFI pour l’Afrique centrale à Libreville entre 1999 et 2002, il avait gardé une affection particulière pour le Gabon. Après un passage à la tête de la rédaction Afrique de RFI en 2002, Jean Hélène a finalement préféré repartir dès 2003 sur le terrain en tant que correspondant permanent de RFI en Côte d’Ivoire.

    Le journaliste de 50 ans a été abattu le 21 octobre 2003 au soir d’une balle de kalachnikov tirée par le sergent de police ivoirien Théodore Dago Séri. Jean Hélène a été touché à la tête alors qu’il attendait à proximité du siège de la police nationale, à Abidjan, la libération de onze opposants. Cet assassinat a eu lieu dans un climat de haine à l'encontre de la presse étrangère, exacerbé par le pouvoir ivoirien d'alors qui reprochait aux médias internationaux d'être partisans dans la crise ivoirienne opposant le président Laurent Gbagbo à la rébellion des Forces nouvelles et aux partisans de l'actuel président Alassane Ouattara. Théodore Dago Séri a été condamné le 22 janvier 2004 à Abidjan à 17 ans de prison pour homicide volontaire.

    Dix ans après cet assassinat, RFI rend hommage à Jean Hélène en mettant en ligne sur son site web plusieurs reportages radios de son ancien correspondant. Le studio 32 de RFI au siège d’Issy-les-Moulineaux, en banlieue parisienne, sera également rebaptisé du nom de Jean Hélène.

    Avec dépêches

     

     


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    Parfois le petit phoque échappe aux mâchoires du grand requin blanc

     

    le petit phoque échappe aux mâchoires

     

    Le requin pensait sans doute avaler d’un bond sa proie habituelle mais, pour une fois, le phoque s’est avéré plus malin et a réussi à échapper aux crocs de son pire prédateur…

    Au large des côtes sud-africaines du Cap, la nature reprend ses droits et présente chaque jour aux touristes de l’extrême son spectacle cruel et pourtant si “naturel”. Le grand requin blanc émerge, affamé, déterminé à en finir d’une bouchée avec sa pauvre victime du jour.

    L’histoire se termine toujours de la même manière: le requin avale sa proie, surprise par la rapidité de son prédateur sur le chemin du retour vers Seal Island. Parfois, le phoque réussit à retarder l’échéance de quelques secondes mais la sentence reste la même.

    Or, ô miracle, le sort d’un rescapé a été immortalisé par un photographe irlandais présent sur les lieux du drame quotidien… Grâce à une chorégraphie peu orthodoxe, le petit phoque évite magistralement toutes les attaques de son ennemi, tel un toréador opposé au taureau déchaîné.

    Un “happy ending” comme la nature en offre peu.

     

     

     


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    Côte d'Ivoire : Faute d'avoir été secourue, la baleine échouée meurt à Grand Bassam

     

     

    la baleine échouée meurt

     

    La baleine morte ici ce mardi matin à Grand Bassam (ph Serge Adam's Diakité) -

    Abidjan le 8 octobre 2013 © koaci.com –

    Faute d'avoir été remise en mer, la baleine qui a échoué dimanche soir aux larges de Grand-Bassam a fini par mourir.

    Jusqu'à la tombée de la nuit d'hier (soit 24 heures après l'échec ), aucune action majeure n'avait été posée, en dépit de la présence sur les lieux des spécialistes ( police maritime, police pêche, Groupement des Sapeurs Pompiers Militaires - unité " spécialiste intervention subaquatique ", agents des eaux et forets ) et des Forces Républicaines de Côte d'Ivoire et de la police de Grand-Bassam.

    En fin de journée hier, le ministre ivoirien des ressources animales et halieutiques ( Kobénan Adjoumani ) visitait le théâtre des opérations, avec à ses côtés, ses proches collaborateurs et les autorités préfectorales de la ville.

    Les informations ont évoluée entre-temps ; la baleine serait âgée entre 3 et 5 ans et pèserait environ trois ( 3 ) tonnes. Elle aurait été ramenée en bordure de mer, par des pêcheurs et ce, dans leur filet. Assez surprenant tout de même, si on considère l'énorme poids du poisson. C'est le lieu de noter toutefois que la baleine était assez affaiblie et un bateau à moteur pourrait avoir été utilisé.

    Est également évoqué la présence de produits hautement toxiques déversés en mer. En effet, au delà de la baleine, des poissons morts trainaient également sur la plage. Un témoin nous a confié avoir ramasser un sac de poissons étrangement morts et ramenés par les mouvements de la mer sur la côte bassamoise.

    Il y a peu, toujours à Grand-Bassam, des dizaines de militaires et de corps habillés s'étaient retrouvés à l'hôpital pour indigestion alimentaire, alors qu'ils étaient en atelier de formation dans ladite localité.

    Notons pour finir, que cette affaire ne pouvant rester en marge des croyances locales a laisser apparaitre une crainte "mystique" des populations voyant dans l'échouage du cétacé un signe de mauvais présage et ce à l’approche de l'Abissa, fête traditionnelle Nzima qui annonce le début de la nouvelle année.

    Akissi Kouamé avec Serge Adam's Diakité

     

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    Côte d’Ivoire : proxénète à Yopougon, un « métier » à la mode

     

     

    un « métier » à la mode !

     

     
    Direction Yopougon, à Abidjan, où les proxénètes exercent dans la plus grande impunité dans les maquis, pour le plus grand bonheur des clients réguliers.
     

    La flambée du proxénétisme fait rage dans la célèbre cité de Yopougon, à Abidjan la capitale de la Côte d’Ivoire. A en croire un reportage réalisé par Koaci.com, les proxénètes s’exposent et exposent avec fierté leur « prise ». Sans complexe, ceux-ci déballent leur « marchandise » dans une course effrénée vers l’argent. Dans le quartier, la pharmacie Keneya a, depuis dix ans, des voisins pas comme les autres : « Tino » et ses drôles de filles. Tino est un proxénète avéré et squatte le secteur depuis dix ans. Tout semble rouler pour ce natif d’Adzopé : « tous les jours les filles viennent me voir pour payer leur "taxe" de 1 000 FCFA, si elles n’ont pas eu de clients, c’est leur affaire, moi j’encaisse mon argent. »

    La réputation de Tino n’est plus à faire. Dans le quartier, tout le monde connaît Tino et « l’efficacité » de la vingtaine de filles qu’il exploite. « J’ai une vingtaine de gonzesses sous la main disponible 24 heures sur 24. J’ai toutes leurs cordonnés, quand quelqu’un me fait signe, peu importe où il se trouve elles atterrissent dans les minutes qui suivent (…) », confie le proxénète. Chaque jour, les filles lui versent individuellement 1 000 FCFA ce qui lui assure un revenu d’environ 20 000 FCFApar jour (30 euros).

    Un business fleurissant

    Ils sont plusieurs à se partager le marché. A quelques rues plus loin, au niveau de la pharmacie Bel Air, le secteur est géré par Hamed. Son QG, c’est cette menuiserie qui sert de chambre de passe à ses filles une fois la nuit tombée. Originaire de Séguéla, Hamed affirme que son « métier » lui a ouvert certaines portes, notamment avec des personnalités du pays. Ces dernières profitent de la situation pour avoir accès aux prostituées du catalogue d’Hamed.

    « Le pays est entre nos mains. Je ne veux pas vous révéler des noms, mais tout le monde demande après mes "petites". Moi je recrute les filles par catégories. Les formes sveltes (minces) sont actuellement les plus demandées, à cause de la chanteuse Claire Bahi qui fait rêver tous les hommes aujourd’hui. Maintenant, je prends les formes africaines prisées par une autre catégorie d’homme. Les sveltes les plus demandées coûtent 20 000 FCFA la nuit. Moi j’ai 5 000 FCFA sur la prime de la fille, et le client en question aussi me paye 5 000 FCFA. Chaque semaine je m’en sors avec plus de 200 000 FCFA (304 euros), je suis un demi-cadre du pays (rire) », indique ce proxénète.

    Un « job » ouvert à tous

    Etre proxénète à Abidjan serait un jeu « d’enfants ». Pour accéder à ce « job », il suffit de gonfler son carnet d’adresse de clients potentiels et d’avoir à sa disposition des « filles prêtes à tout », selon des habitués de ce système, dans le quartier de Niango. C’est aussi et surtout un moyen de se faire de l’argent et vite. Les recrutements se font chez les filles qui ont entre 15 et 25 ans. Il vaut mieux être mince plutôt qu’enrobée pour travailler sous les ordres d’un proxénète, c’est la tendance du moment, paraît-il.

    Certaines filles travaillent à domicile. C’est au proxénète de trouver les clients et de les envoyer chez elles. « Moi j’exerce en professionnel, je ne veux pas que mes files traînent dans ces milieux. Elles sont chez elles. Mêmes certaines sont mariées. Quand je discute avec mon "pigeon" prêt à me payer 5 000 FCFA pour ma commission et 15 000 FCFA pour la fille, le tour est joué », indique un proxénète qui se dit ancien vigile.

    Plutôt que d’être dénoncés, les proxénètes ivoiriens ont au contraire pignon. Ils exercent en toute liberté, sans jamais être inquiétés. Dans cet univers bien ficelé du proxénétisme ivoirien, les populations ignorent bien souvent qu’une bonne partie des filles de joie exercent sous la houlette d’un proxénète.

     

     

     


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